L’entraîneur de l’équipe nationale féminine de lutte du Nigeria, Purity Akuh, a promis de consacrer tous ses efforts à la promotion et à la croissance de la lutte dans le Sud-Ouest et au-delà, après sa victoire lors de la récente élection zonale de la région.
Akuh a obtenu les six voix des six États du Sud-Ouest, réaffirmant ainsi son engagement en faveur du développement de la lutte à la base et au niveau d’élite.
L’éducateur certifié de l’UWW a souligné que le sport, lorsqu’il est pleinement soutenu, constitue un puissant outil de réduction de la criminalité et du chômage. Il a également mis en avant le rôle du sport dans la génération de devises à l’échelle mondiale, tout en réitérant sa détermination à impulser un véritable changement dans la lutte.
« Ces questions et bien d’autres qui affectent le sport, en particulier la lutte, seront abordées avec sincérité et détermination », a-t-il déclaré.
Akuh a exprimé sa gratitude à Daniel Igali, président de la Fédération nigériane de lutte et son ancien entraîneur national, ainsi qu’au gouverneur de l’État d’Ondo, Lucky Aiyedatiwa, et au commissaire au développement du sport pour leur soutien.
Il a assuré aux parties prenantes que son expérience en tant que lutteur, combinée à sa formation technique en tant qu’éducateur certifié de l’UWW, apporterait une contribution technique précieuse au conseil de la NWF.
« Je ne rejoins pas le conseil pour faire de la figuration, mais pour contribuer avec les connaissances et l’expérience que j’ai acquises en tant que lutteur, entraîneur et professionnel international », a affirmé Akuh.
Originaire de l’État d’Ondo, l’entraîneur a en outre promis de collaborer avec les parties prenantes pour relever les défis auxquels la lutte est confrontée dans le Sud-Ouest, tout en lançant des programmes de base afin de découvrir et de développer de jeunes talents.
« J’ai imaginé un plan de développement durable axé sur les programmes et la formation de base, avec la volonté et la détermination d’atteindre les talents bruts dans nos villages, avec le soutien des parties prenantes », a-t-il conclu.
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