Face à Manchester United en finale, Postecoglou a vigoureusement défendu son parcours d’entraîneur, alors que les critiques se sont intensifiées après une saison décevante en Premier League, avec Tottenham à la 17e place, juste derrière les Red Devils. Il a dénoncé les jugements hâtifs, refusant d’être qualifié de « clown », et a souligné ses plus de vingt ans de carrière dans le football, qui l'ont conduit jusqu'à cette finale européenne majeure.
L’ancien sélectionneur de l’Australie et ex-entraîneur du Celtic a rappelé son engagement envers la reconstruction de Tottenham, en renouvelant l’effectif et en imposant un nouveau style de jeu, malgré les nombreux obstacles rencontrés. Il considère cette finale comme une chance majeure d’atteindre le principal objectif fixé lors de son arrivée : ramener un trophée au club après 17 années de disette.
Postecoglou a également déclaré qu’il ne spéculerait pas sur son avenir, qu’il considère comme sûr, préférant se concentrer pleinement sur la rencontre à venir. Il s’est dit confiant dans les progrès réalisés par l’équipe sous sa direction, citant notamment la cinquième place obtenue la saison précédente comme un socle pour l’avenir.
Concernant l’effectif pour la finale, il a confirmé l’indisponibilité de Lucas Bergvall, James Maddison et Dejan Kulusevski, mais a rassuré sur l’état de forme de Pape Matar Sarr, prêt à jouer dans ce match crucial à Bilbao.
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